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Le génocide en droit international
, Numéro 10
La justice turque a émis ce 7 novembre, des mandats d’arrêt pour « génocide » contre 37 responsables israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu. La Turquie s’était déjà jointe à la procédure engagée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice, engagée en décembre 2023. Du grec genos (race) et du latin cide (tuer), on doit ce terme au juriste juif polonais Raphaël Lemkin durant la Seconde Guerre mondiale. Il pose les premières fondations de ce qui deviendra au lendemain du génocide des Juifs et Tsiganes d’Europe, un outil judiciaire international. En 1948, la « Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide » est adoptée par l’ONU, et en propose une première définition juridique. Ce qui distingue le génocide du crime de guerre ou contre l’humanité, c’est « l’intention spécifique » de détruire, entièrement ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou…
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Cet article a été publié dans un numéro papier de Parti des femmes.
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